Bob l’Eponge… De son vrai nom SpongeBob SquarePants (Bob l’Eponge au Pantalon Carré)… Qui aurait cru que le premier numéro de ce comics poreux viendrait faire l’objet d’un Unspoken ? On vous l’annonce fièrement, Comixity : premier sur le comics interdit aux plus de 8 ans ! Après le weekly sur Chip’n’Dale, voici venir The Amazing SpongeBob SquarePants ! Pourquoi ce choix me direz-vous ? Ben ma seule réponse viable est : pourquoi pas ?
Rassurez-vous, je ne vais pas vous faire une review analytique, en essayant de vous faire comprendre la portée sociologique du titre. Loin de moi ces prétentions ^^ Mais on va y aller franco (de Paur…) : ce comics est une merveille ! Bien évidemment, pour le considérer comme tel, il faut avoir garder une âme d’enfant, ne pas avoir plus de 8-10 ans dans sa tête, et aimer les petites histoires. Car oui, ce premier numéro n’est pas le début des nouvelles aventures de Bob qui s’inscrira dans la durée. Non, c’est un recueil de petites histoires, sans aucun lien entre elles et qu’il faut prendre telles quelles.
Je ne vais pas citer les crédits car il y en a vraiment trop. On compte 9 histoires, dont 2 assez conséquentes. C’est drôle, c’est plus ou moins bien dessiné selon les histoires et ce n’est absolument pas prise de tête !
La première histoire est une sorte d’Inception mais version Bob… Bob rêve de son petit déjeuner avec des céréales, ça se passe mal, il se réveille, prend son petit déjeuner avec des céréales, ça se passe mal, il se réveille, prend son petit déjeuner avec des céréales, et devinez quoi ? Ça se passe mal ! Il se réveille, prend son petit déjeuner avec… des pancakes ! Ben oui, ça parait logique quand on vient de faire 4 cauchemars avec des céréales !
La seconde histoire, enfin si on peut appeler ça une histoire, est une simple page destinée clairement aux enfants. Bob va chez le coiffeur, et… c’est tout ^^
La troisième histoire met en scène deux « super-héros » qui veulent impressionner Bob en battant un super-vilain en la personne de King Octopus, paisiblement endormi non loin de là. Ils n’y arrivent pas et restent coincés sous une tentacule sans avoir réveillé le Roi…
La quatrième histoire, ben c’est Bob qui va en boîte de nuit…
La cinquième histoire est la plus sympathique. Ca se passe dans le resto de Bob et c’est Squidward le héros. Il en a marre d’entendre les mastications incessantes des clients et décide de mettre de la musique d’ambiance… Il commence avec de la musique de pirates, ce qui attire irrémédiablement une clientèle non-désirée. La jeune fille de Mr Krabs (un requin marteau… oui, j’ai du louper des cours de biologie étant gamin…) propose sa propre musique, ce qui ramène un lot de gamins affamés mais sans un rond en poche. Ensuite, Squidward propose un enregistrement de 6 heures de lui-même jouant de la clarinette, ce qui ramène… personne… Finalement, Bob propose une chanson et la c’est le carton plein ! Cette chanson fait un tel carton que Squidward n’en peut plus et s’exile.
S’en suit 4 petites histoires rigolotes.
N’hésitez pas, c’est un Buy ! Ou un Check-it… Ou un Pass… Oui, j’arrive pas vraiment à me décider. Ce que je peux vous dire, c’est que j’ai passé un bon moment en le lisant, ça repose, c’est marrant, ça n’a aucune prétention. J’oserai dire ceci : n’est-ce pas cela qu’on attend d’une lecture sur SpongeBob ? Ma seule déception est de ne voir que très peu Patrick…
Paaaatttrriiiiiiiiiiiiiiick !!!!!!! 🙁