AKILEOS EDITIONS
Doctor Who le dixième docteur, Tome 3 : Les fontaines de l’éternité
Prix : 15€/ 128 pages
Scénario : Nick Abadzis, Elena Casagrande ,
Dessin :
Sollicitation : Le Dixième Docteur et Gabby Gonzalez sont de retour pour une aventure cosmique exubérante qui les conduira des rues de New York au centre de la galaxie… et au-delà !
Avis : pas d’avis, je signale juste la sortie. Etant donné que je n’ai personnellement jamais accroché à Doctor Who, je laisse ceux qui connaissent parler de ces adaptations comics.
Verdict : pour les fans du Doctor !
Doctor Who Le onzième docteur, Tome 3 : Conversion
Prix : 15€/ 136 pages
Scénario : Al Ewing
Dessin : Boo Cook
Sollicitation : Le Docteur tourne autour de la terrifiante société SERVEYOUinc depuis qu’il a fait irruption dans la vie de la nouvelle compagne Alice Obiefune… la vérité derrière la malveillance trans-temporelle de SERVEYOUinc est à présent mise à jour !
La conclusion des 2 premiers tomes.
Avis : pas d’avis, je signale juste la sortie. Etant donné que je n’ai personnellement jamais accroché à Doctor Who, je laisse ceux qui connaissent parler de ces adaptations comics.
Verdict : pour les fans du Doctor !
Doctor Who Le douzième docteur, Tome 3 : Hyperion
Prix : 15€/ 128 pages
Scénario : Robbie Morrison
Dessin :
Sollicitation : Le Docteur et Clara font face à des défis impossibles tandis que les Hyperions – une race de sensible au soleil qui ont brûlé l’univers jusqu’à ce que les Seigneurs du Temps mettent fin à leur règne de terreur – ont refait leur apparition, et pire, sont venus sur Terre.
Avis : pas d’avis, je signale juste la sortie. Etant donné que je n’ai personnellement jamais accroché à Doctor Who, je laisse ceux qui connaissent parler de ces adaptations comics.
Verdict : pour les fans du Doctor !
DOCTOR WHO : LES 4 DOCTEURS
Prix : 15€/ 128 pages
Scénario : Paul Cornell
Dessin : Neil Edwards
Sollicitation : Lancez-vous dans une nouvelle aventure traversant le passé, le présent et le futur de l’univers de la série Doctor Who, en compagnie de trois Docteurs et leurs compagnes respectives ! Pour le tout premier cross-over Doctor Who de Titan traduit en France, retrouvez les Docteurs 10, 11 et 12 mais aussi l’énigmatique « war Doctor ».
Cette histoire nous montre ce qui arrive quand trois incarnations si différentes du Docteur se rencontrent et doivent travailler ensemble malgré leurs divergences pour éviter la fin de l’univers…
Avis : pas d’avis, je signale juste la sortie. Etant donné que je n’ai personnellement jamais accroché à Doctor Who, je laisse ceux qui connaissent parler de ces adaptations comics.
Verdict : pour les fans du Doctor !
BLISS COMICS
THE DELINQUENTS
Prix : 16,95€/128 pages
Scénario : James Asmus & Fred Van Lente
Dessin : Kano
Sollicitation : QUANTUM ET WOODY + ARCHER ET ARMSTRONG : LE TEAM-UP DE TOUS LES DANGERS.
Quantum et Woody forment la pire équipe de super-héros du monde. Archer et Armstrong sont un duo improbable d’aventuriers démêlant les pires conspirations. Une force mystérieuse va réunir ces “héros” totalement irresponsables pour une épopée à travers l’Amérique et ses mythes les plus obscurs. Le quatuor parviendra-t-il à vaincre le Roi des Clochards ? Quels sombres secrets cache la multinationale agricole Mondostano ? Découvrez le lien invraisemblable entre ces deux questions dans The Delinquents.
Pour ce récit complet, les scénaristes James Asmus (Quantum & Woody) et Fred Van Lente (Archer & Armstrong, Ivar) font équipe avec l’artiste espagnol Kano (Quantum & Woody, The Immortal Iron Fist). Ensemble, il réunissent les héros les plus fous de l’univers Valiant pour un road-trip à travers les États-Unis !
Contient la mini-série The Delinquents #1-4… et le jeu à boire de société The Delinquents !!
Avis : pas d’avis, je signale juste la sortie.
Verdict :pour les fans.
DELIRIUM EDITIONS
JOHNNY RED TOME 3
Prix : 23€/
Scénario : Tom Tully
Dessin : Joe Colquhoun
Episodes :
Sollicitation : Après un accident qui a couté la vie à un officier supérieur, Johnny Red est exclu de la RAF. Embarqué sur un navire britannique en direction de Mourmansk, sa mission tourne court suite à un assaut allemand mais il parvient à s’enfuir de justesse avec un Hawker Hurricane de la Royal Navy. Il rejoint alors la troupe des Faucons, une unité de partisans russes qui résiste avec ténacité à l’envahisseur nazi. Ses prouesses au combat aérien ont vite fait de lui le leader du groupe. Dans ce dernier volume illustré par le fabuleux Joe Colquhoun (La grande Guerre de Charlie), le frère de l’officier anglais tué dans l’accident qui a fait radier Johnny Red de la RAF découvre son identité. Il n’aura plus désormais qu’une idée en tête, se venger ! De son côté, l’arrivée de Nina Petrova, femme pilote soviétique aussi mortelle que Johnny Red et capitaine de l’unité de chasseurs-bombardiers des Anges de la Mort (inspirée des fameuses Sorcières de la Nuit qui ont semé la terreur dans les rangs allemands lors de la campagne de Russie) va à son tour l’entraîner dans une spirale frénétique au bout de la peur et de l’enfer, au-dessus des ruines embrasées de Stalingrad !
Avis : j’étais passé complètement à côté de cette publication Delirium qui présente, je crois pour la première en VF, des comics de guerre anglais très connus outre manche, d’ailleurs fréquemment cités par Garth Ennis comme une influence majeure sur son travail. Apparemment le scénariste, et nombre de petits anglais, ont grandi avec ce type de publication revenant sur les exploits, romancés mais souvent basés sur des faits réels, de pilotes de la RAF durant la seconde guerre mondiale. De fait, la réputation de ces titres n’est plus vraiment à faire, et cela fait quelque peu saliver le lecteur que je suis…Attention, par contre, car il me semble qu’ils sont en noir et blanc, donc soyez prévenus avant de vous lancer.
Verdict : à tester
GLENAT COMICS
BIG GUY & RUSTY le garçon robot
Prix : 17.95€/112 pages
Scénario : Frank Miller
Dessin : Geoff Darrow
Episodes :
Sollicitation : Robots VS Monstres géants !
Alors que la civilisation est perpétuellement menacée de destruction, l’humanité n’a plus qu’un seul espoir. Ou plutôt deux : les robots Big Guy et Rusty. Et si leur tâche est difficile, leur mission est simple : sauver le monde !
Hystérique, drôle, tendre, loufoque, Big Guy & Rusty le garçon robot est un tourbillon d’action et d’aventure né de la folle créativité de deux génies du 9e Art : Frank Miller et Geof Darrow. C’est aussi et avant tout une lettre d’amour à l’âge d’or de la japanimation – Astroboy et Tezuka en tête –, aux films de monstres géants des années 1950 et à la culture grindhouse. Retrouvez aujourd’hui en France cette œuvre jubilatoire dans sa toute dernière version, avec les nouvelles couleurs du génial Dave Stewart (Rumble, Hellboy) : une édition grand format de qualité, afin d’apprécier comme il se doit la générosité du dessin de l’auteur de Shaolin Cowboy.
Avis : je vois que l’histoire d’amour entre Glénat Comics et Geoff Darrow se poursuit, et tant mieux pour les lecteurs, car on n’a jamais trop de Darrow dans sa vie…Bien évidemment, je connais de nom de cette série qu’il a co-créée avec Frank Miller dans les années 90, sorte d’hommage assumé aux animés de mecha et films des monstres japonais des années 50/60. Je ne l’ai personnellement jamais lu, mais voilà une bonne occasion de combler cette lacune…
Verdict : à lire
HACHETTE COMICS
GODZILLA
Prix : 13.95€/72 pages
Scénario :
Dessin :
Episodes :
Sollicitation : A l’aube de l’ère atomique, l’humanité a réveillé des formes de vie dont la force va bien au-delà de l’imagination des hommes. Cette nouvelle aventure de Godzilla est le préquel du film, produit par Legendary et sorti sur grand écran, en 2014. Un must d’action et d’horreur !
Avis : pas vraiment d’avis, il me semble qu’il s’agit d’une des mini séries publiées récemment par Dark Horse Comics. A confirmer.
Verdict : à tester
PACIFIC RIM
Prix : 13.95€/112 pages
Scénario :
Dessin :
Episodes :
Sollicitation : La Terre est menacée par un monstre répondant au nom de Kaiju qui, tout droit surgi des océans, a décidé de rayer l’espèce humaine de la surface de la Terre. Pour venir à bout de cette créature, les hommes ont construits d’énormes robots de combat qui sont dirigés simultanément par deux pilotes. Qui de l’humain ou de la bête l’emportera… ?
Avis : comme tout le monde j’avais beaucoup apprécié le film de Del Toro, alors que la suite s’annonce pour bientôt, mais sans le réalisateur d’origine. Je vois que les comics liés à la franchise viennent refaire un tour en librairie…Moui, étant donné que 99.99% de l’intérêt repose exclusivement sur l’attrait de voir des robots géants latter des monstres géants sur grands écrans…je ne suis pas sûr de l’intérêt…
Verdict : à tester
PANINI COMICS
MARVEL DELUXE : IRON FIST 2
Prix :29,00 EUR, 304 pages
Scénario : Ed Brubaker, Matt Fraction,
Dessin :David Aja
Episodes :US Immortal Iron Fist 8-16, Annual 1 et Immortal Iron Fist : Orson Randall & the green mist of Death, publiés précédemment dans les albums 100% MARVEL : IRON FIST 2-3
Sollicitation :Iron First retourne dans la cité légendaire de K’un-Lun pour participer à un tournoi organisé tous les 88 ans entre les Armes Immortelles des Sept Capitales Célestes. Danny Rand doit découvrir les secrets de son prédécesseur, Orson Randall, s’il veut remporter cette compétition et sauver la vie de son associé, l’héritage de son père et l’avenir de K’un-Lun !
Avis : bon alors accrochez vous à vos sièges parce que je vais dire du bien d’un travail signé Matt Fraction. Ce n’est pas prêt d’arriver de nouveau, donc savourez ces quelques lignes, alors que ce tome s’attaque aux épisodes qui ont permis à Iron Fist de gagner toute une légion de nouveaux fans, inscrivant ce run, comme l’un des plus importants jamais connus par le personnage depuis sa création. Oui, rien que cela…
Il faut dire que c’est dans ce tome, que les scénaristes s’attaquent au dur, à savoir l’histoire qu’ils avaient en tête depuis le départ, avec le tournoi des 7 cités. A cette occasion, outre l’hommage énorme aux films asiatiques de kung-fu et notamment ceux de Honk Kong des années 70/80, ce que font Brubaker et Fraction est avant tout de donner une nouvelle mythologie à leur personnage, bien plus riche, dense et tout simplement passionnante.
A l’image de ce que Geoff Johns a accompli sur Green Lantern, nous voyons les scénaristes déployer le monde de leur personnage pour y ajouter une foule de nouveaux éléments, et surtout de nouveaux personnages, tous plus charismatiques les uns que les autres à l’image d’un Fat Cobra, dont on tombe amoureux dans la minute…
Tout cela est en outre servi par un David Aja au sommet de sa forme,qui peut se servir du décor de la série et de tous ces nouveaux personnages pour se déchaîner et donner toute l’ampleur de son talent. En bref, si n’avez qu’un run à lire sur Iron Fist c’est bien celui là !
Verdict : à posséder !
MARVEL DELUXE : ULTIMATE SPIDER-MAN 11
Prix :29,00 EUR, 264 pages,
Scénario :Brian M. Bendis
Dessin :Stuart Immonen
Episodes :US Ultimate Spider-Man 118-128, publiés précédemment dans les revues ULTIMATE SPIDER-MAN 62-65)
Sollicitation :La vie de Peter Parker et de tous ses amis du lycée change radicalement lorsque Johnny Storm devient son camarade de classe ! Et alors que les X-Men s’en mêlent, un adversaire redoutable fait son grand retour : Venom ! C’est le début de la guerre des symbiotes.
Avis : suite de la réédition du run de Brian Michael Bendis sur Ultimate Spider-Man et avec ce tome, on peut réellement parler du début du déclin de la série. Comme si le départ de Mark Bagley au dessin avait privé le scénariste de quelque chose de nécessaire pour réellement tirer le meilleur de ses histoires…ou tout simplement cela correspond-il au moment où le scénariste n’a plus eu rien à dire de réellement substantiel sur ce titre…
De quoi je parle, mais de cette sous XXX sans qualité que fut la fameuse guerre des symbiotes. Cela sonnait bien sur le papier, alors que le scénario ramène sur le devant de la scène Eddie Brock et Venom plus vu depuis des lustres maintenant confronté au Carnage de l’univers Ultimate à savoir Gwen Stacy ressuscité (oui, c’est cinglé…). Au final, que retient on ? pas grand chose, à part un Bendis très fatigué qui comble comme il peut..
Le seul véritable passage intéressant est sans doute la tentative de Bendis de recréer une espèce de Spider-Man and Friends alors que des gens à pouvoirs commencent à s’inviter chez lui de manière régulière et que sa maison devient le point de ralliement de tous ses super potes…De fait, autant la partie vie personnelle de Peter reste amusante et fraiche, autant le reste ne vaut pas tripette…
Verdict : à lire
MARVEL DELUXE : SPIDER-MAN – L’ETRANGERE AUX CHEVEUX ROUX
Prix :29,00 EUR, 312 pages
Scénario :Dan Slott, Fred Van Lente, Joe Kelly,
Dessin :John Romita Jr, Mike McKone, Barry Kitson
Episodes : US Amazing Spider-Man 600-607, publiés précédemment dans les revues SPIDER-MAN (V2) 125-128
Sollicitation :Le Docteur Octopus est mourant et il n’a plus rien à perdre. Ce constat le pousse à vouloir vaincre Spider-Man une bonne fois pour toutes. Puis, Mary Jane Watson et la Chatte Noire reviennent dans la vie de Peter Parker. Les deux femmes vont faire tourner la tête à notre héros.
Avis : Panini continue de rééditer brand new day en deluxe…pour je ne sais trop quelle raison. Il faudrait que je vérifie s’il s’agit là d’une réédition intégrale ou simplement de certains morceaux choisis importants…A voir…ou pas, car j’ai fait mon possible pour me tenir éloigné de cette période maudite de la vie du tisseur.
Cependant, de manière objective, il s’agit là d’un passage important de la vie du personnage, mais aussi une des fondations du run de Dan Slott sur la série. Si à l’époque il partageait encore la charge du scénario avec tout un pool de scénaristes, il a répété à plusieurs reprises, que la première base de son futur Superior Spider-Man se trouvait dans ce fameux épisode 600.
Un épisode qui voit d’une part le mariage de Tante May, qui elle n’est donc pas interdite de vœux matrimoniaux contrairement à son célibataire de neveu…, mais surtout marque le retour du Docteur Octopus…pas au meilleur de sa forme physique et qui entame ici le long déclin qui mènera aux événements vus dans l’épisode 700. On peut donc tirer notre chapeau bas à Slott pour avoir su mener à bien sa barque entre ces 100 numéros…
Ensuite, comme l’indique le titre, le tome marque également le retour de MJ dans la vie de Peter, après des mois d’exil…et un autre homme dans sa vie. Elle va d’ailleurs, comme Peter, collectionner les aventures sans lendemain à la suite de One More day…je suppose que c’est une manière de gérer les choses…
Verdict : à lire
MARVEL DELUXE : ULTIMATE SPIDER-MAN 5 (NOUVELLE EDITION)
Prix : 29,00 EUR, 336 pages
Scénario : Brian M. Bendis,
Dessin : Mark Bagley, Trevor Hairsine
Episodes :US Ultimate Spider-Man 46-59 et Ultimate Six 1-7
Sollicitation :En imaginant Ultimate Spider-Man, Brian Michael Bendis et Mark Bagley ont créé une des séries les plus plébiscitées par les fans. Dans ce cinquième tome, vous découvrirez l’intégralité de la mini-série Ultimate Six, illustrée par Trevor Hairsine, qui oppose Spider-Man à Norman Osborn et ses sinistres alliés. Invités vedettes : les Ultimates !
Avis : pour la première fois depuis longtemps, il a fallu que je me replonge dans la série USM pour rafraichir ma mémoire quant aux contenu des épisodes présentés dans ce Deluxe. En général, je peux m’en passer, car je garde un excellent souvenir de la première série Ultimate Spider-Man…à l’exception près de certains passages moyens qui restent assez nébuleux au fond de ma mémoire, celle-ci n’ayant pas eu envie de travailler pour garder trace des histoires présentées.
Ainsi, après le volume 4 que nous nommerons « l’incident », référence au nouveau vilain que Bendis a essayé de créer du nom immédiatement iconique de Geldoff…le scénariste a de toute évidence voulu avec ces épisodes revenir à quelque chose plus conforme à ce que l’on peut attendre d’une série Spider-Man. Il débute ainsi avec le retour du Caïd, et l’introduction de Black Cat aux alentours de l’épisode 50 avant d’emmener son personnage à Hollywood alors que le premier film Spider-Man est en train d’être tourné…
Des épisodes franchement sympathiques dans l’ensemble, où Bendis retrouve ce mélange d’aventure super-héroïque bien mené et d’évolution de la vie personnelle de son personnage qui fait le succès de Spider-Man depuis plus de 50 ans maintenant. Bon, je ne cache pas le fait que l’arc ultra long Hollywood n’a au fond guère d’intérêt, que c’est un gâchis concernant le personnage d’Octopus plus ridicule que jamais…mais en le relisant, je me suis souvenu d’une part que l’arc avait des parties franchement funs qui m’avaient bien fait marré à la première lecture…et d’autre part, la manière très habile dont était géré la relation Peter/Gwen/MJ en arrière plan…
Par contre j’ai vraiment du me replonger en profondeur dans l’arc Sinister Six pour m’en rappeler le contenu. Le truc ne m’avait réellement pas marqué du tout, alors que l’intrigue de départ était ambitieuse avec la première réunion des Sinister Six, menés par un Osborn bien déchaîné, qui appelle l’arrivée des Ultimates pour contrer des plans pas …franchement très élaborés.
C’est un peu tout ce qu’on retient au fond de cet arc en 7 épisodes, une intrigue bien mince, qui repose sur pas mal de dialogues, de considérations sur la prochaine guerre et pas mal d’action sur la fin…et pas grand chose d’autre. De fait, l’arc en lui même n’eut guère de retombées au final…
Un tome donc bourré de bons moments,si l’on exclut Sinister Six, où l’on retrouve l’humour, le sens du dialogue, des relations et la bonne gestion des personnages qui ont déserté Bendis ces dernières années…
Verdict : à lire
MARVEL ICONS : CAPTAIN AMERICA PAR BRUBAKER/EPTING 3
Prix :36,00 EUR, 440 pages
Scénario : Ed Brubaker
Dessin :Steve Epting, Luke Ross, Mike Perkins
Episodes :US Captain America (2005) 31-48, publiés précédemment dans les albums MARVEL DELUXE : CAPTAIN AMERICA 3 à 5
Sollicitation :Après la mort de Steve Rogers, un homme doit reprendre le costume et le bouclier de Captain America. Et cet homme n’est autre que l’ancien coéquipier de la Sentinelle de la Liberté, Bucky Barnes. Mais ce dernier a son propre passé, au sein des Invaders puis en tant que Soldat de l’Hiver. Avec l’aide du Faucon et de Sharon Carter, Bucky va devoir affronter les ennemis de Captain America mais aussi son propre passé.
Avis : suite de la réédition du run de Ed Brubaker en Marvel Icons, alors que l’édition Deluxe est elle toujours en cours. Mais avec ce tome, nous comprenons bien l’intérêt économique pour le lecteur de choisir la version Icons. Ainsi, en un seul, cet Icons regroupe…3 tomes deluxe ! et il entre dans la marge de prix/nombre de pages qui s’inscrit comme la référence actuelle avec 36€ pour plus de 440 pages…Un bon gros bébé, au contenu …mitigé.
Du moins, c’est mon avis, sans doute parce que c’est au cours de cette période que j’ai laissé tomber la série, ou du moins le run de Brubaker, de manière définitive. En fait, on peut aisément découper le tomes en deux parties. La première qui voit Bucky Barnes reprendre le costume de Captain America, suite au « décès » de Steve Rogers dans l’épisode 25….et le reste. Si les premiers épisodes de la reprise sont assez musclés et sympathiques à suivre, le reste s’embourbe assez rapidement.
En effet, à mon avis, et c’est un peu ce que Brubaker a confirmé ultérieurement, cette reprise du titre par Barnes a eu tellement de succès, que Marvel lui a demandé de faire durer le plus longtemps possible…Or, le scénariste avait prévu à l’origine que ce changement ne durerait que quelques mois (6 à 9 max), grosso modo, le temps d’amener le grand complot de Crane Rouge vers sa conclusion. Et en voulant faire durer, Brubaker a du nourrir la bête comme il pouvait, allongeant des éléments de manière complètement inutile.
De fait, aux alentours de l’épisode 40, j’ai personnellement commencé à m’ennuyer ferme, et j’ai préféré laisser tomber peu de temps après, sans regarder en arrière et sans le moindre regret…notamment au vu de la manière dont s’est conclue la grande intrigue autour de Crane Rouge, intrigue principale du run de Brubaker sur le titre et qui a au final a fait figure de gigantesque pétard mouillé…
Verdict : à apprécier en ne se masquant pas ses défauts.
MARVEL CLASSIC : AMAZING SPIDER-MAN L’INTEGRALE 1977 (NOUVELLE EDITION)
Prix : 29,95 EUR,280 pages
Scénario :Len Wein, Marv Wolfman,
Dessin : Ross Andru, Sal Buscema
Episodes :US Amazing Spider-Man (1963) 164-175
Sollicitation :Cette Intégrale rassemble toute la production arachnéenne de 1977, signée Len Wein, Ross Andru, Marv Wolfman et Sal Buscema. On y retrouve Amazing Spider-Man 164 à 175, le onzième annual de la série et le crossover avec Nova 12.
Avis : pas d’avis, je signale juste la sortie.
Verdict : nouvelle édition.
MARVEL CLASSIC : AMAZING SPIDER-MAN L’INTEGRALE 1979 (NOUVELLE EDITION)
Prix :29,95 EUR,264 pages
Scénario :Marv Wolfman,
Dessin :Keith Pollard
Episodes :US Amazing Spider-Man (1963) 188-199)
Sollicitation :Dans ce volume regroupant les épisodes de 1979 d’Amazing Spider-Man on retrouve Peter Parker face à de nombreux adversaires dont Mystério !
Avis : pas d’avis, je signale juste la sortie.
Verdict : nouvelle édition.
MARVEL CLASSIC : AVENGERS 1976
Prix :29,95 EUR,280 pages,
Scénario :Steve Englehart
Dessin :George Perez
Épisodes :US Avengers (1963) 143-154 et Annual 6 et Super-Vilain Team-Up (1975) 9, publiés précédemment dans l’album MARVEL BEST OF : AVENGERS – LA COURONNE DU SERPENT et les revues VENGEURS (Arédit) 3-6 et L’INATTENDU 18-19
Sollicitation :Patsy Walker se transforme en Hellcat et deux groupes d’Avengers voyagent alors dans le temps pour déjouer les plans de Kang le Conquérant.
Avis : pas d’avis, je signale juste la sortie. Mais je dois dire qu’entre le numéro anniversaire, et la présence de George Perez, même encore en début de carrière, cela donne sacrément envie…
Verdict : pour ceux qui suivent
MARVEL NOW : AMAZING SPIDER-MAN 5
Prix :14,95 EUR , 136 pages
Scénario :Gerry Conway
Dessin :Carlo Barberi
Episodes : US Amazing Spider-Man (2014) 16.1-20.1, publiés précédemment dans les revues SPIDER-MAN (V4) 11-13)
Sollicitation :Spider-Man s’associe au Spectre pour affronter les barons du crime de New-York. Mais la situation dégénère rapidement et les héros sont pris dans une spirale de violence sans fin. Vont-ils réussir à s’en sortir indemnes ?
Avis : pas d’avis, je signale juste la sortie. A noter que ces épisodes marquent le retour de Gerry Conway sur la franchise Spider-Man, après des passages importants dans les années 70 et 80. En outre, à la suite de ce retour en 2014, il a continué à accumuler les boulots de grande qualité, entre Carnage ou Spider-Man Renew Your vows, qui devrait arriver en kiosque dans les prochains mois.
Verdict : à tester
Donc Hachette se met vraiment à faire du comics en France ! Apparemment, la communication, c’est pas trop leur truc (ou je suis passé à coté !). Bon, le 72 pages pour 13€95, ça fait mal
Je ne dirai pas qu’ils s’y mettent vraiment, ils profitent juste de certaines occasions pour publier des comics en lien avec certaines franchises bien connues, comme World of Tanks récemment
On a quand même 3 titres en l’espace d’un mois dont 2 ne surfent pas forcement sur l’actualité !
Mais c’est les premiers qu’ils publient ? (sans parler des collections presse)
Ah Big Guy et Rusty, un très beau comic-book aux détails bluffants (Darrow quoi) qui comme tu le dis Sam est un bel hommage aux combats de gros monstres et de robots. Rien de transcendant au niveau scénario, mais cet album est avant tout conçu comme un plaisir visuel. Ce one-shot a servi de base à une courte série animée de 26 épisodes au début des années 2000 dans la veine de Godzilla et Men in Black qui avait été diffusée sur M6,
Pour rester dans les gros monstres, l’album sur Godzilla ne concerne pas les mini-séries d’IDW auxquelles tu dois penser (et non Dark Horse, ils avaient la licence fin 90’s) mais le préquel sorti chez Legendary Comics à qui l’on doit également l’album Pacific Rim (critiqué par Bruno je crois dans un ComixWeekly, il l’avait trouvé très mauvais) mais aussi un prequel à Kong (inédit en France) ou une suite au film Power Rangers dont nous avons parlé récemment dans le Comixity Universe #1.
Très bonne surprise de voir que les épisodes Gerry Conway sont intégrés aux rééditions d’Amazing Spider-Man période Marvel Now, les nouvelles histoires de ce vétéran du Tisseur sont une agréable alternative à Dan Slott (et ça fait toujours plaisir de voir que certains anciens maîtrisent toujours leur sujet).
Le dessin animé de Big Guy et Rusty était pas mal du tout. Je dois dire que je pense que la série est même meilleure que le comics d’origine.
A noter que le comic et la série dérivent sur l’origine de Big Guy de mémoire.