PANINI COMICS
BEST OF FUSION COMICS : BUFFY CONTRE LES VAMPIRES SAISON 10 3
Date de sortie : 24 février 2016
Prix : 14,95 EUR,128 pages
Épisodes : US Buffy the Vampire Slayer Season 10 11-15, inédits
Scénario : Joss Whedon, Christos Gage, Nicholas Brendon,
Dessin : Rebekah Isaacs, Megan Levens
Sollicitation : Les règles de la magie sont désormais réécrites et la vie de Buffy et du Scooby-gang reprend son cours. Mais ce calme est rapidement interrompus par des démons immatériels, le Sculpteur ou encore par les pulsions meurtrières de Spike. Buffy arrivera-t-elle a lui venir en aide ?
Avis : et oui, discrètement et sans beaucoup de promo, un nouveau tome de Bufffy saison 10 sort cette semaine. Donc pour ceux qui suivent à ne pas manquer.
Verdict : pour ceux qui suivent.
URBAN COMICS
BATMAN TERRE 1 – TOME 2
Date de sortie : 26 février 2016
Prix : 15€/
Épisodes :Batman: Earth One volume 2
Scénario : Geoff Johns
Dessin : Gary Frank
Sollicitation : Après la mort du Maire Oswald Cobblepot et l’apparition d’un certain « Batman », une nouvelle ère s’apprête à voir le jour à Gotham City. Jessica Dent et son frère, le procureur Harvey Dent, ont rejoint les rangs de ce justicier de l’ombre pour combattre la corruption et le dictat des criminels installés en ville depuis trop longtemps. Mais aucun ne s’attendait à devoir affronter un nouvel adversaire, un ennemi si imprévisible que chaque mauvais pas peut d’avérer fatale.
Avis :suite attendue du Batman Terre 1 avec toujours la même équipe créative fidèle au poste. Autant le dire d’entrée de jeu, le second volume est, selon moi, à la hauteur des attentes voire un cran au dessus du premier. Pourtant la tâche n’était guère aisée après un premier tome très réussi qui parvenait à nous présenter un Batman bien plus amateur dans un Gotham toujours pourri jusqu’à la moelle où l’on croisait ici ou là les figures connues de la mythologie de la chauve souris mais avec un twist bien particulier.
On continue de suivre ce Batman s’exercer quasiment sans aucun entraînement, qui à tout à apprendre mais cette fois avec le soutien d’un Alfred bad ass qui essaye de lui transmettre le plus possible son expérience. Le gros obstacle de ce tome, était d’apporter une vision rénovée des deux vilains qui interviennent dans ce tome. Comme on le sait, avec 75 ans d’histoires au compteur, même dans une autre continuité, il est toujours compliqué d’apporter des idées neuves sur la galerie de vilains de Batman.
Johns y parvient en respectant les codes intrinsèques à une série Batman, à savoir que la tragédie n’est jamais bien loin et qu’elle peut prendre de nombreux visages. Nous avons donc encore une fois une excellente lecture, qui nous présente un Batman légèrement différent, plus expérimental, mais qui fonctionne toujours, qui bouscule un peu quelques repaires établis. Tout cela soutenu par un Gary Frank toujours très solide, encore plus à l’aise sur ce second tome.
Verdict : à lire.
BATMAN AND ROBIN TOME 4
Date de sortie : 26 février 2016
Prix : 17,5€/176 pages
Épisodes :
Scénario : Peter Tomasi
Dessin : Patrick Gleason
Sollicitation : Dévasté par la mort de son fils Damian, Batman se retrouve une fois de plus sans Robin, perdu dans un monde désormais vide de sens. Avec le soutien de ses compagnons et de sa famille, le Chevalier Noir parviendra-t-il a surmonter son plus grand échec ? Ou sombrera-t-il dans la culpabilité, jusqu’à devenir son plus redoutable ennemi ?
Avis :nouveau tome de la réédition de la série Batman and Robin en librairie…et sans aucun doute l’un des meilleurs arcs …ou du moins celui où l’équipe créative va livrer certains de ses meilleurs épisodes…dont certains font partie des meilleurs, à mon sens, publiés sur Batman au cours des dernières années.
Je pense tout d’abord, et bien entendu, au premier épisode choc, entièrement silencieux, qui frappe au lecteur en plein coeur, le met KO et donne envie d’appeler tous les membres de sa famille pour les embarrasser en leur disant qu’on les aime comme un fou, un soldat…vous connaissez trop la chanson…(d’ailleurs comment je connais cette référence moi ??? arrrghhh qu’avez vous fait à mon cerveau !!!)
Rarement on aura dit tant avec aussi peu de mots…je conserve encore, malgré le retour de Damian et le temps qui a passé depuis lors, un souvenir ému de cet épisode. Pour le reste, Tomasi adopte une approche vraiment très maligne où chaque épisode ramène un personnage de la Bat-family alors que Batman fait face à un stade du deuil (colère, marchandage et ainsi de suite…).
Tout n’est pas entièrement réussi, notamment l’épisode avec Batgirl sans intérêt et même pas dessiné par Gleason…mais d’autres fonctionnent réellement bien, je pense en particulier à l’épisode avec Frankenstein…De toute façon n’importe quel épisode avec Frankie dedans est bon…
Dans l’ensemble on peut donc dire que nous avons là l’un des arcs les plus réussis produit par la paire Tomasi & Gleason sur le titre.
Verdict : à lire
GEOFF JOHNS PRESENTE GREEN LANTERN TOME 7
Date de sortie : 26 février 2016
Prix : 14€/176 pages
Épisodes : Green Lantern: Agent Orange (#38-42)
Scénario : Geoff Johns
Dessin : Philippe Tan
Sollicitation : Alors que la guerre fait rage entre les derniers corps de lumière, Hal Jordan rencontre un être bizarre qui pourrait bien changer la donne : Larfleeze, l’Agent Orange de l’avarice. Dans l’ombre, un pacte étrange se noue avec les Gardiens de l’Univers.
Avis :et bennn !!! on y croyait plus ! Comme chacun le sait, la franchise Green Lantern connaît des heures difficiles en ce moment. Plombée par des scénarios peu inspirés et une moindre exposition, les titres affiliés disparaissent peu à peu du paysage comics VF, alors que les ventes se tassent de plus en plus aux USA et que l’éditeur tente un peu tout et n’importe quoi (surtout n’importe quoi) pour tâcher de relancer la machine.
En France, cela s’est traduit tout d’abord par la réduction du nombre de séries traduites et la trimestrialisation…et en 2016, à la quasi disparition pure et simple en kiosque. A priori, des HS devraient continuer de suivre au moins la série principale, mais sans garantie …Autre conséquence, même la réédition du run de Geoff Johns s’est trouvé impactée par cette désaffection du public et ce alors que c’est ce même run qui avait popularisé aux USA comme en France le personnage il y a quelques années (presque 10 ans maintenant…grand dieu des comics, comme le temps passe vite !!!).
Du coup, il aura fallu attendre presque un an pour voir arriver le tome 7 (le tome 6 étant sorti en mai dernier…). et malheureusement, il y a peu de chances que ce soit ce tome qui rallume l’enthousiasme des lecteurs car il s’agit sans doute d’un des arcs les plus …non pas faibles, ni même ratés étant son importance…mais sans doute difficiles à approcher. Avec ce tome, Johns introduit un personnage important, avec Larfleeze, mais le fait dans le cadre d’une approche horrifique qu’il va assez vite abandonner…au profit d’un angle bien plus comique…
Ainsi, en quelques épisodes, le personnage va être présenté d’abord comme un monstre, avant de pratiquement devenir le bouffon de la bande, constamment en décalage, permettant d’apporter un petit souffle comique nécessaire dans les périodes les plus tendues du run de Johns qui suivent juste après avec Blackest Night. Malgré cela, je recommanderai tout de même ce tome, comme les précédents et les suivants, car nous sommes là dans une période très importante du run de l’auteur.
Johns était alors en pleine construction de sa mythologie autour du spectre émotionnel, développant un élément bien particulier, tout en creusant l’histoire des gardiens, qui apparaissent encore une fois plus ambigus que jamais, et amène en toile de fond d’une part la guerre entre les différents corps de Lantern et d’autre part annonce Blackest Night. En somme pas l’arc le plus efficace, mais certainement pas mauvais pour autant. En plus il rappelle la bonne époque où l’on attendait chaque nouvel épisode de Green Lantern avec impatience…
C’est aussi techniquement le dernier tome de la série, même s’il reste encore quelques passages post Blackest Night du travail de Johns qui restent à éditer en VF…mais à priori, Urban n’est pas très pressé de les publier. Je crains qu’il faille attendre une période plus prospère pour la franchise pour que les lecteurs VF ne voient tout cela arriver . Verdict : à lire
The sixth gun tome 6
Date de sortie : 26 février 2016
Prix :28€/
Épisodes :
Scénario : Cullen Bunn
Dessin : Brian Hurtt
Sollicitation : Après avoir passé un temps indéterminé dans l’au-delà glacé du Wendigo, Drake Sinclair et Becky Montcrief retrouvent enfin leur ami Gord Cantrell pour poursuivre leur mission : se libérer de la malédiction des revolvers en empêchant la veuve Hume de réunir les six artéfacts. Accompagnés du sournois Kirby Hale et de la Momie Asher Cobb, tous ignorent pourtant qu’un nouveau joueur à rejoint la partie : Griselda la sorcière grise et son fidèle disciple Jesup Sutter, le plus grand rival de Drake Sinclair.
Avis : je ne connais pas les détails chiffrés de l’accueil public de la série Sixth Gun en France, mais j’espère qu’ils sont bons, mais il est assez bizarre qu’Urban change ainsi le format de sortie à partir du 6e tome. En effet, l’éditeur nous propose cette fois l’équivalent d’un tome double, avec une douzaine d’épisodes et l’équivalent de deux arcs.
Sur le fond, je maintiens bien entendu mon avis. Le titre reste très efficace, et je reste admiratif en particulier de la manière dont Bunn a réussi à développer son récit à partir d’un pitch relativement restreint (des flingues possédés). Les personnages principaux sont bien développés et le cast notamment des vilains s’étoffe un peu plus à chaque arc.
De fait alors que nous ne sommes qu’à la moitié de la série (qui va s’achever après 50 épisodes si ma mémoire est bonne) et alors que l’histoire de base appelait une conclusion rapide, il n’y a aucun sentiment de lassitude ou de piétinement de l’intrigue. Une joie réussite en somme.
Je suis d’autant plus curieux de lire la suite, que de nouveaux ennemis sont en train d’émerger alors que les deux personnages principaux sortent d’une grosse épreuve après leur affrontement contre le Wendigo dans le précédent arc et ne sont donc pas au mieux de leur forme.
Verdict : à lire
C’EST UN OISEAU
Date de sortie : 26 février 2016
Prix : 15€/
Épisodes :
Scénario : Steven Seagel
Dessin :
Sollicitation : L’avenir professionnel de Steve n’a jamais paru aussi prometteur. On vient tout juste de lui proposer d’imaginer les nouvelles aventures du plus célèbre de tous les héros : Superman. Côté personnel, il s’apprête cependant à connaître les moments les plus douloureux de son existence : son père a disparu sans laisser de message, laissant sa mère en plein désarroi. Au même moment, il apprend qu’une maladie génétique menace sa vie mais également celle de ses futurs enfants. Dans son imaginaire, Steve dispose de pouvoirs incommensurables, capables de faire bouger les planètes, mais dans la vraie, Superman n’est qu’une créature de papier, impuissante… Vraiment ? Un symbole est-il capable de sauver la vie d’un être humain bien réel ?
Avis : réédition d’un titre paru initialement chez Panini il y a quelques années il me semble, en partie autobiographique et qui revient sur une partie véridique de la vie de Steven Seagel (non pas l’acteur de série triple Z qui occupe bien les soirée de certaines chaînes TV sans moyen financier…, mais le scénariste comics…).
A la fin des années 90, Seagel a fait plusieurs incursions dans le mainstream chez Marvel, avec les X-Men, et ensuite chez DC où il a signé un run d’environ un an sur Superman. Si le scénariste est assez vite passé à autre chose : niveau comics, plutôt chez Vertigo, mais surtout en intégrant le collectif d’auteurs Man of Action qui a bossé sur plusieurs animés qui ont connu de gros succès il a tiré de cette expérience un graphic novel.
Je ne l’ai jamais lu et ne suis guère tenté car le style Seagle n’a jamais trop fonctionné pour moi, du moins le peu que j’ai lu de sa part…
Verdict : à tester.
LOW TOME 1
Date de sortie : 26 février 2016
Prix : 10€/
Épisodes :
Scénario : Rick Remender
Dessin : Greg Tocchini
Sollicitation : Le futur lointain. Accablée par les rayons destructeurs d’un soleil mourant, l’Humanité a été contrainte de se réfugier au coeur de vastes cités sous-marines alors qu’elle continue à envoyer des sondes spatiales en quête d’un nouveau foyer. Après plusieurs centaines d’années, une sonde s’écrase à la surface de la Terre, désormais peuplée d’une race extra-terrestre inconnue des humains. Stel, dernière scientifique déterminée à ne pas laisser l’Humanité s’éteindre au fond des océans, se met en quête de récupérer la précieuse sonde, emmenant dans son sillage Marik, son fils et unique survivant du massacre de leur famille, dix ans auparavant.
Avis :l’histoire d’amour entre Urban et Rick Remender se poursuit au plus grand bonheur des lecteurs, avec l’arrivée en VF de l’une des dernières productions en date de l’auteur : Low. Un titre (en gros “au plus bas”) parfaitement adapté à la série dont l’un des thèmes principaux est sans conteste l’espoir …ou du moins comment il peut être la seule force à même de vous maintenir debout alors que vous êtes tout simplement en train de sombrer.
Une thématique qui résonne de manière particulière pour un auteur comme Remender, pas vraiment connu pour ses récits optimistes et cela se traduit d’une manière claire : les personnages et notamment l’héroïne Stel en chie des ronds de chapeau dans cette nouvelle série. Si celle-ci fait preuve d’une volonté et d’une résistance hors norme à pratiquement toutes les merdes sans fin que la vie lui balance, on ne peut pas en dire autant de son entourage.
Alors que l’humanité autour d’elle a tout simplement renoncé et a décidé de s’adonner à tous ses vices dans ce qu’elle considère ses dernières heures , les quelques membres encore en vie de la famille de Stel ne valent pas vraiment mieux…A l’inverse de son personnage qui veut continuer à y croire malgré et en dépit de tout, Remender nous livre encore une fois son point de vue toujours désenchanté sur une humanité qui n’en vaut peut être pas vraiment la peine, soit complaisante, soit tellement blasée qu’elle sombre dans le jmenfoutisme le plus total. Cynisme et espoir co-existent donc dans un mélange détonnant.
Le seul point qui me pose personnellement problème est sans doute la partie graphique signée Greg Tochinni. Si l’artiste a un talent certain, son style demande un certain temps pour s’habituer et manque assez souvent de clarté et de lisibilité. Les planches sont parfois très chargées et manquent de précision.
Malgré tout, je tends à recommander le titre car je ne sais pas pourquoi, mais j’ai du mal à lui résister…
Verdict : à lire
Pas mal de choses cette semaine. Je vais me prendre « C’est Un Oiseau » (j’avais volontairement zappé l’édition ultra cheap de Panini et je suis bien content de voir cette réédition), « Batman & Robin » et « Green Lantern 7 ». J’hésite pour « Low » parce que ça m’énerve un peu de me lancer dans une série sans savoir où elle va aller (j’ai déjà plongé avec « Black Science » et « Deadly Class » pour un porte-monnaie et des étagères non extensibles…). Par contre, je ne comprends pas l’engouement pour le « Batman Year One », que j’ai immédiatement revendu. Cette relecture le cul entre deux chaises, très consensuelle (moderne sans être moderne, réaliste sans être réaliste), n’a pas du tout fonctionné avec moi.
The sixth gun est toujours un plaisir ! En plus, cette fois-ci, c’est double ration ! Je n’ai lu que le tome 1 de Green lantern, c’était reès bon. J’ai bien envie d’enchainer mais vu le nombre de tomes, ça fait un petit budget maintenant ! Low me tente bien aussi même si j’ai tenté en anglais et me suis arrêté faute de comprendre réellement. C’est vrai que les dessins ne sont d’une grande lisibilité non plus…
Batman et Robin, j’ai un peu décroché, peut-être que je vais m’y remettre avec ce tome qui a l’air de contenir de bons épisodes.
Enfin, Batman year one ne m’a pas emballé, je ne suivrai pas ce tome 2.
Ça ne s’appelle pas Batman « year one » mais Batman earth one! Bref, de mon côté je pense me prendre LOW T1 parceque Remender (un auteur qui me plait sur Black Science, mais que j’accroche pas sur Deadly Class).
Effectivement, en plus des fautes de frappe, je me suis trompé !
Idem, j’ai eu beaucoup de mal avec Deadly Class…Le scénario, pas inoubliable (à mon humble avis), le style graphique non plus (idem), bref, c’est pas passé…Je vais par contre tenter ma chance avec LOW, la preview est plutôt sympa et le prix aussi. Sans compter que j’attendais la réedit de « The Last Days of American Crime » pour le style de Tocchini et que finalement, ça n’a pas eu lieu…Et « C’est un oiseau » qui à l’air bien down, et au style graphique bien particulier, pourquoi pas ?
Bonjour,
Excusez moi de vous contredire mais Batman Year One est une des meilleurs histoires du Batman même si l’histoire se centre plus sur le commissaire Gordon que sur le Batman.
Par contre Batman Earth One est beaucoup moins bien.
Bonne journée.
Donc ce Green Lantern 7 n’ira pas jusqu’à la blackest night ? 🙁
Combien d’épisodes cela représente ? C’est dommage qu’urban ne va pas jusqu’au bout. Déjà qu’on n’a pas Green Lantern Corp…
Je m’é trompé. Quand je disais que je n’aimais pas et que je ne comprenais pas le succès, je parlais de « Batman Earth One ». « Batman Year One » étant un intouchable !
Le run de Geoff Johns sur Green Lantern comprend en tout 17 tomes.
– Green Lantern Rebirth.
– 8 tomes « Geoff Johns présente » N°0 à 7.
– 2 tomes Blackest Night.
– Green Lantern Brightest Day.
– War of the Green Lanterns.
– 4 Tomes Green Lantern NEW 52.
Urban Comics n’a pas encore édité :
– Green Lantern Rebirth.
– Green Lantern Brightest Day.
– War of the Green Lanterns.
Tout le reste est dispo.
Les trois derniers devraient sortir dans la collection DC Classiques d’après un message Facebook d’Urban comics… datant d’avril 2014 ! Et depuis plus rien… Tout comme il n’est pas encore prévu d’avoir les épisodes de Green Lantern Corps de Peter Tomasi…
Hello,
Pour celles et ceux qui veulent se faire une idée sur « it’s a bird »:http://www.brucetringale.com/pourquoi-je-hais-superman/