Comixity Special #26 : RoboCop

(Re)Découvrez le Justicier d'acier

RoboCop

Pour ce premier spécial de l’année, nous ne pouvions passer à côté de la première grosse franchise geek de 2014 à débarquer dans nos salles : RoboCop, le reboot. Et pour bien aborder le renouveau de la franchise, nous passons en revue ce qui a été fait sur RoboCop précédemment, à savoir les films bien évidemment mais aussi les séries TV, les dessin animés, les comics et les jeux vidéo pour finir avec une critique du reboot en fin d’émission.

Play
A propos Steve 1698 Articles
A l'origine du projet, chroniqueur sur tous les podcasts, c'est également à lui que revient la lourde et ingrâte tâche de l'enregistrement et du montage des émissions.

8 Comments

  1. Encore un super podcast, vous avez bien bossé sur toute la franchise. Malheureusement pour moi robocop c’est le premier film et le roman qui détaille un peu plus tout ça.
    Tout le reste trahit l’oeuvre original tout en étant dans la majorité des cas de piètre qualité.

    Je pourrais tout juste m’intéresser à robocop-terminator puisque c’est hors continuité et que j’apprécie l’idée de voir robocop déclencher de l’arrivée de skynet.

  2. Tres intéressant ce podcast. Comment une franchise peut durer aussi longtemps alors que seul le film original est de qualité? Çà me dépasse.

  3. Le film n’est pas ignoble non plus. Il manque de noirceur, c’est certain. De profondeur aussi. Il y a des scènes inutiles. Des personnages en moins qui manquent beaucoup. La société présentée n’a pas du tout l’intérêt de la vision du film de l’époque. Pour autant, un ancien Fan retrouve certains éléments qui en font un film qui se laissent regarder par nostalgie. Certains nouveaux thèmes sont pas mal, du genre l’ajout de la connectivité entre la ville et Robocop, ou encore la manière de faire accepter à la population la supplantation de nos forces de l’ordre par des machines.
    Je vois donc le film comme un biais, un peu casse-gueule c’est vrai, qui ramène le Fan vers l’original, et est assez intéressant pour pousser certains à découvrir ce film culte des années 90 ; et, pourquoi pas, raviver l’envie de voir réalisé un jour un bon Remake pour nos écrans.
    En conclusion : Un bilan mitigé tout de même, non pas pour le film, mais pour la licence, qui se foire un peu, tout en rappelant qu’elle existe et a de l’intérêt.

    PS : c’est discutable les chroniqueurs qui vannent le film sans l’avoir vu.

  4. PS : Et « faire dans le social », c’est à dire « se demander si on a le droit de prendre un être humain et faire ça », etc… Je ne trouve pas que ce soit « trop de Pathos » ; je trouve au contraire que c’est un sujet d’actualité à côté duquel les scénaristes ne pouvaient pas passer. En revanche, c’est mal traité, c’est vrai.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.